Mères, Grands-Mères et Grande Mère
Amaya – quand j’ai entendu ce nom, il est devenu pour moi celui de la divinité de la Terre, de la vie sur Terre.
C’est le nom de la Grande Mère, Celle qui donne la vie, alors qu’elle est aussi petite et précieuse qu’une graine.
Celle qui vient d’on ne sait où, mystérieuse comme notre origine, semblable à la Dame de Brassempouy :
Statuette en ivoire de mammouth du Gravettien de 3,65 cm
Duir fait référence au Chêne sacré celtique, qui manifeste l’énergie de vie.
Dressé entre Terre et Ciel, il est porteur de connaissance.
Son symbolisme l’associe traditionnellement au tonnerre
ainsi qu’à la foudre venue du ciel, qui pénètre dans les profondeurs de la Terre pour la régénérer.
Amaya Duir
C’est l’énergie vitale qui se met au service de la divinité de la vie sur Terre,
au service de la Grande Mère, des Mères Originelles, des Grands-Mères en Esprit.
Depuis la nuit des temps, la Grande Mère, sous ses innombrables formes, prend soin de nous. De multiples traditions l’honorent.
Il existe une infinité de chemins qui mènent jusqu’à Elle, et qui sont autant d’enseignements.
Les femmes des tribus amérindiennes ont recueilli – à travers les mondes – le cœur de ces enseignements. Elles l’ont gardé, protégé, approfondi et transmis en le vivant pleinement.
Le cœur de ses enseignement est pour nous comme une mère.
Et c’est pour que ces enseignements continuent à être vivants et vécus, aujourd’hui et dans le futur, qu’est proposée ici la lecture de textes essentiels en ce qu’ils nous éveillent au caractère sacré de la vie et à la sacralité de nos vies de femmes.
Ils nous parlent des forces de vie originelles dans leur expression et beauté de Mères de la Vie, d’Anciennes ou de Grands-Mères (physiques ou en Esprit), et ils nous inspirent de nous connecter à elles, de cheminer avec elles.
N’hésitez pas à lire des extraits de ces ouvrages lors de vos rencontres, à les faire connaître autour de vous. Ils sont précieux. Ils sont venus à nous pour que nous continuions à les porter dans notre monde aujourd’hui.
« Nous sommes ceux que nous attendions »